Après une semaine, il rentre chez lui, sa mère remarque que son enfant
est un peu différent, mais se dit que c'est, peut-être le stress causé
par les examens. Les jours passent, Ali, devient de plus en plus
agressif et coléreux, sa mère s'inquiète. Il décide d'aller repasser une
autre semaine chez ses camarades, de retour chez lui, il redevient
lui-même, mais ne tarde pas à perdre les pédales une fois de plus.
La maman ne peut plus fermer les yeux, elle décide d'emmener son fils chez le médecin, pensant à un surmenage. Le diagnostic est accablant, Ali est toxicomane. L'adolescent jure n'avoir jamais touché à la drogue, il n'a même jamais fumé une cigarette. Et il ne ment pas. Mais que s'est-il réellement passé ?
En fait, il s'est avéré que ses camarades, jaloux de son succès scolaire, lui mettaient une pilule de psychotrope (Karkoubi) dans chaque verre de thé qu'ils lui servaient. Deux semaines ont suffi pour que Ali devienne dépendant. «Les jeunes sont inconscients du risque qu'ils encourent. Ali aurait très bien pu mourir, si son corps n'avait pas supporté la toxine. Il existe un grand nombre de personnes qui meurent après avoir essayé une seule pilule», s'indigne son médecin.
Après un mois et demi, en service d'addictologie, à 400 Dirhams par jour (privilégié parce que sa maman travaille comme infimière dans le même établissement hospitalier), Ali s'est complètement débarrassé de toute trace de toxine dans son sang, mais n'est jamais redevenu lui-même. «J'ai perdu mon fils, il a arrêté ses études, passe son temps enfermé dans sa chambre, il n'a plus goût à la vie et j'ai peur pour lui. Je ne pardonnerai jamais aux responsables», s'insurge sa mère. «Je suis infirmière et mon mari est en retraite. On a dépensé une fortune que nous ne possédons même pas. Et le résultat, un fils qui continu à déprimer et une peur permanente qu'il mette fin à ses jours», ajoute-t-elle.
Inconscience
Ali n'est pas un cas unique, en effet, grand nombre de jeunes commencent à se droguer sans le savoir, par le biais d'un(e) ami(e) de mauvaise foi. Quand ils se rendent compte de la gravité de leur état, il est déjà trop tard. La drogue agit très vite sur le cerveau et la dépendance prend rapidement le dessus.
D'autres par contre, choisissent de se droguer croyant pouvoir échapper à leur
«triste » réalité. Mais les cas les plus graves, restent les jeunes qui, inconscients des dangers qui en découlent, se défoncent dans le simple but de s'amuser et «Planer». «C'est plus intéressant de fumer un joint plutôt qu'une simple cigarette. Ça fait plus d'effets», indique Amal, 17 ans. «J'en fume tous les jours avec mes copines et aucune de nous n'a jamais eu de problèmes de santé. Au contraire», ajoute-t-elle. «Lors de nos rencontres, chacun doit apporter sa participation en drogue, c'est le deal pour participer. On s'amuse mieux, lorsqu'on a fumé, et je ne pense sincèrement pas que ça nous cause des torts», affirme Kamal, 18 ans.
«Je trouve que les angoisses des grands sont vraiment injustifiées. Depuis quatre ans que je fume des joints, je prends des extasies et des psychotropes…je n'ai jamais souffert de problèmes et je peux même dire que je ne suis pas du tout dépendant. Je peux arrêter quand je veux, c'est juste que je n'en ai pas envie», estime Omar, 19 ans, complètement inconscient. Alors que les symptômes de la dépendance sont très visibles sur lui: les yeux rouges, les mains qui tremblent, la voix rauque, avec un ton un peu agressif. Surveillées de près et sous la pression des parents et des écoles, conscients tous les deux des dangers de la dépendance toxicologique, les jeunes qui font preuve de beaucoup d'ingéniosité pour échapper au contrôle parental, se sont rabattus sur les drogues médicamenteuses.
En effet, vu que beaucoup de mamans des quartiers huppés «souffrant» de maladies liées au stress et à la dépression nerveuse, se font prescrire
des médicaments antidépresseurs, leurs adolescents les piquent afin de pigmenter leurs soirées.
Par contre, les raisons les plus fréquentes de l'addiction, restent sociales, des jeunes qui vivent dans des situations précaires, ou dans des familles séparées, qui souffrent de problèmes psychiques…, «ces jeunes sont tous des victimes de la société ou de leurs familles. Il ne faut pas les traiter comme des voyous», estime Abdelmajid Kadiri, Président de l'association «Al Azhar». Qui en sait quelque chose, vu qu'avec la collaboration de deux autres associations, «Addel Al Waref» et «l'Heure Joyeuse», ils sillonnent le Royaume, depuis 2005, au sein de la caravane «la lil karkoubi, la lil moukhadirat» (non aux psychotropes, non aux drogues).
Il s'agit d'une campagne de sensibilisation et de prévention en faveur des jeunes dans les établissements des secteurs, privé et public, les clubs, les maisons de jeunesse, les prisons et même les plages, dans le but de leur faire prendre conscience des dangers des psychotropes. «Grâce à l'implication des autorités publiques, police, gendarmerie et douane, nous avons réussi à intercepter les importations des psychotropes qui se faisaient en grande quantités depuis l'Algérie», explique Kadiri.
«Tous ces efforts ont fini par porter leurs fruits, puisque le prix des pilules rouges a été multiplié par 10 en quelques années, ce dont nous sommes très fiers», ajoute-t-il.
La consommation fait ravage
D'après les études effectuées par les associations, c'est à la ville de Casablanca que la consommation fait ravage, ce qui est compréhensible, comparé au nombre d'habitants. Ils ont aussi noté deux points noirs de la ville, le marché de «Boutouil» à l'ancienne médina et le souk «Jmiaa» à Derb sultan.
Hormis les psychotropes, la caravane traque aussi l'utilisation du Maâjoune, Nafha et Lkala, «il existe plusieurs types, et le problème avec les drogues, c'est qu'elles touchent directement le système nerveux. C'est la raison pour laquelle la plupart des toxicomanes souffrent de Paranoïa», affirme Kadiri.
En effet, la Paranoïa qui est une psychose, c'est-à-dire une maladie mentale dont le malade n'est pas conscient est caractérisée par la perte du contact avec la réalité et par des troubles plus ou moins graves de la personnalité, comme par exemple, la surestimation de soi, des erreurs de jugement, une méfiance allant jusqu'au délire de persécution… et ceci parce que les cellules nerveuses, sont les seules cellules du corps qui
ne se régénèrent pas après destruction. Et les drogues tuent spécialement les cellules nerveuses.
C'est pour cette raison aussi que la caravane, a mis en place une action dédiée aux parents: «ne fermez pas vos yeux», qui met en garde les parents sur les risques meurtriers de la toxicomanie, «plusieurs jeunes dépendants, ont commis des crimes sans s'en rendre compte», assure Kadiri. «A Béni Mellal, pendant la fête de l'Adha dernier, un jeune a égorgé sa mère et sa sœur, et est sorti après dans la rue crier qu'il a effectué la Sounna», raconte Kadiri. Qui ajoute, «ce n'est pas pendant la prise que la personne est dangereuse, mais après que l'effet se soit un peu estompé, ou lorsqu'il est carrément en manque», dit-il.
Ce qui est important à signaler, c'est que l'addiction n'est pas une fatalité.
Il existe des jeunes et des moins jeunes, qui ont réussi à s'en sortir malgré le grand nombre d'années de dépendance, Jamal en est le meilleur exemple. C'est un trentenaire qui se drogue depuis son adolescence, son corps porte les marques de toutes ses souffrances et pourtant il n'a pas baissé les bras. «Après des années de toxicomanie et de mutilation. Cela fait cinq ans qu'il n'a plus touché à la drogue, il a même réussi à trouver un travail, se marier et fonder une famille», annonce Kadiri fièrement. «Aujourd'hui, il nous accompagne dans nos actions de sensibilisation pour parler aux jeunes de sa propre expérience. Nous sommes très fiers de lui», ajoute-t-il.
En effet, les jeunes s'offrent des soirées sous le signe de la folie et de l'inconscience en mélangeant plusieurs types de médicaments, en plus de l'alcool, les extasies et les psychotropes, pour atteindre le septième ciel. Un mélange mortel, dont les autorités et la société commencent à peine à prendre conscience.
Une tendance qui vient directement des Etats-Unis et d'Europe et qui n'a pas mis longtemps pour atterrir au Maroc. «Nous organisons ce genre de soirées depuis deux ans maintenant. Le principe est simple, chacun apporte sa participation en médicaments, on met le tout dans un bocal, on mélange et chacun prend une poignée et après la fête peut commencer», raconte fièrement Youssra, 15 ans.
Mais quand on lui demande ce qu'ils font lors de ces fêtes, elle se trouve dans l'incapacité de donner une réponse correcte, pour la simple raison qu'après un mélange de drogues et d'alcool, les jeunes ne se savent plus ce qu'ils font et donc n'ont aucun souvenir du déroulement de leurs soirées.
Cette sensation agréable parfumée trompe tous ceux qui fument la chicha car ils n'imaginent pas que les nombreux produits toxiques inhalés peuvent avoir des effets dangereux sur la santé.
Contrairement aux idées reçues, fumer la chicha est donc, très nocif pour la santé, elle peut provoquer par exemple une augmentation du risque de cancers, des bronchites chroniques, ou des problèmes cardiovasculaires.
La caravane «non aux drogues», effectue des rondes sur les plages pour sensibiliser les jeunes à cette pratique très répandue, et dont certains ont fait un commerce juteux sur nos plages.
La maman ne peut plus fermer les yeux, elle décide d'emmener son fils chez le médecin, pensant à un surmenage. Le diagnostic est accablant, Ali est toxicomane. L'adolescent jure n'avoir jamais touché à la drogue, il n'a même jamais fumé une cigarette. Et il ne ment pas. Mais que s'est-il réellement passé ?
En fait, il s'est avéré que ses camarades, jaloux de son succès scolaire, lui mettaient une pilule de psychotrope (Karkoubi) dans chaque verre de thé qu'ils lui servaient. Deux semaines ont suffi pour que Ali devienne dépendant. «Les jeunes sont inconscients du risque qu'ils encourent. Ali aurait très bien pu mourir, si son corps n'avait pas supporté la toxine. Il existe un grand nombre de personnes qui meurent après avoir essayé une seule pilule», s'indigne son médecin.
Après un mois et demi, en service d'addictologie, à 400 Dirhams par jour (privilégié parce que sa maman travaille comme infimière dans le même établissement hospitalier), Ali s'est complètement débarrassé de toute trace de toxine dans son sang, mais n'est jamais redevenu lui-même. «J'ai perdu mon fils, il a arrêté ses études, passe son temps enfermé dans sa chambre, il n'a plus goût à la vie et j'ai peur pour lui. Je ne pardonnerai jamais aux responsables», s'insurge sa mère. «Je suis infirmière et mon mari est en retraite. On a dépensé une fortune que nous ne possédons même pas. Et le résultat, un fils qui continu à déprimer et une peur permanente qu'il mette fin à ses jours», ajoute-t-elle.
Inconscience
Ali n'est pas un cas unique, en effet, grand nombre de jeunes commencent à se droguer sans le savoir, par le biais d'un(e) ami(e) de mauvaise foi. Quand ils se rendent compte de la gravité de leur état, il est déjà trop tard. La drogue agit très vite sur le cerveau et la dépendance prend rapidement le dessus.
D'autres par contre, choisissent de se droguer croyant pouvoir échapper à leur
«triste » réalité. Mais les cas les plus graves, restent les jeunes qui, inconscients des dangers qui en découlent, se défoncent dans le simple but de s'amuser et «Planer». «C'est plus intéressant de fumer un joint plutôt qu'une simple cigarette. Ça fait plus d'effets», indique Amal, 17 ans. «J'en fume tous les jours avec mes copines et aucune de nous n'a jamais eu de problèmes de santé. Au contraire», ajoute-t-elle. «Lors de nos rencontres, chacun doit apporter sa participation en drogue, c'est le deal pour participer. On s'amuse mieux, lorsqu'on a fumé, et je ne pense sincèrement pas que ça nous cause des torts», affirme Kamal, 18 ans.
«Je trouve que les angoisses des grands sont vraiment injustifiées. Depuis quatre ans que je fume des joints, je prends des extasies et des psychotropes…je n'ai jamais souffert de problèmes et je peux même dire que je ne suis pas du tout dépendant. Je peux arrêter quand je veux, c'est juste que je n'en ai pas envie», estime Omar, 19 ans, complètement inconscient. Alors que les symptômes de la dépendance sont très visibles sur lui: les yeux rouges, les mains qui tremblent, la voix rauque, avec un ton un peu agressif. Surveillées de près et sous la pression des parents et des écoles, conscients tous les deux des dangers de la dépendance toxicologique, les jeunes qui font preuve de beaucoup d'ingéniosité pour échapper au contrôle parental, se sont rabattus sur les drogues médicamenteuses.
En effet, vu que beaucoup de mamans des quartiers huppés «souffrant» de maladies liées au stress et à la dépression nerveuse, se font prescrire
des médicaments antidépresseurs, leurs adolescents les piquent afin de pigmenter leurs soirées.
Par contre, les raisons les plus fréquentes de l'addiction, restent sociales, des jeunes qui vivent dans des situations précaires, ou dans des familles séparées, qui souffrent de problèmes psychiques…, «ces jeunes sont tous des victimes de la société ou de leurs familles. Il ne faut pas les traiter comme des voyous», estime Abdelmajid Kadiri, Président de l'association «Al Azhar». Qui en sait quelque chose, vu qu'avec la collaboration de deux autres associations, «Addel Al Waref» et «l'Heure Joyeuse», ils sillonnent le Royaume, depuis 2005, au sein de la caravane «la lil karkoubi, la lil moukhadirat» (non aux psychotropes, non aux drogues).
Il s'agit d'une campagne de sensibilisation et de prévention en faveur des jeunes dans les établissements des secteurs, privé et public, les clubs, les maisons de jeunesse, les prisons et même les plages, dans le but de leur faire prendre conscience des dangers des psychotropes. «Grâce à l'implication des autorités publiques, police, gendarmerie et douane, nous avons réussi à intercepter les importations des psychotropes qui se faisaient en grande quantités depuis l'Algérie», explique Kadiri.
«Tous ces efforts ont fini par porter leurs fruits, puisque le prix des pilules rouges a été multiplié par 10 en quelques années, ce dont nous sommes très fiers», ajoute-t-il.
La consommation fait ravage
D'après les études effectuées par les associations, c'est à la ville de Casablanca que la consommation fait ravage, ce qui est compréhensible, comparé au nombre d'habitants. Ils ont aussi noté deux points noirs de la ville, le marché de «Boutouil» à l'ancienne médina et le souk «Jmiaa» à Derb sultan.
Hormis les psychotropes, la caravane traque aussi l'utilisation du Maâjoune, Nafha et Lkala, «il existe plusieurs types, et le problème avec les drogues, c'est qu'elles touchent directement le système nerveux. C'est la raison pour laquelle la plupart des toxicomanes souffrent de Paranoïa», affirme Kadiri.
En effet, la Paranoïa qui est une psychose, c'est-à-dire une maladie mentale dont le malade n'est pas conscient est caractérisée par la perte du contact avec la réalité et par des troubles plus ou moins graves de la personnalité, comme par exemple, la surestimation de soi, des erreurs de jugement, une méfiance allant jusqu'au délire de persécution… et ceci parce que les cellules nerveuses, sont les seules cellules du corps qui
ne se régénèrent pas après destruction. Et les drogues tuent spécialement les cellules nerveuses.
C'est pour cette raison aussi que la caravane, a mis en place une action dédiée aux parents: «ne fermez pas vos yeux», qui met en garde les parents sur les risques meurtriers de la toxicomanie, «plusieurs jeunes dépendants, ont commis des crimes sans s'en rendre compte», assure Kadiri. «A Béni Mellal, pendant la fête de l'Adha dernier, un jeune a égorgé sa mère et sa sœur, et est sorti après dans la rue crier qu'il a effectué la Sounna», raconte Kadiri. Qui ajoute, «ce n'est pas pendant la prise que la personne est dangereuse, mais après que l'effet se soit un peu estompé, ou lorsqu'il est carrément en manque», dit-il.
Ce qui est important à signaler, c'est que l'addiction n'est pas une fatalité.
Il existe des jeunes et des moins jeunes, qui ont réussi à s'en sortir malgré le grand nombre d'années de dépendance, Jamal en est le meilleur exemple. C'est un trentenaire qui se drogue depuis son adolescence, son corps porte les marques de toutes ses souffrances et pourtant il n'a pas baissé les bras. «Après des années de toxicomanie et de mutilation. Cela fait cinq ans qu'il n'a plus touché à la drogue, il a même réussi à trouver un travail, se marier et fonder une famille», annonce Kadiri fièrement. «Aujourd'hui, il nous accompagne dans nos actions de sensibilisation pour parler aux jeunes de sa propre expérience. Nous sommes très fiers de lui», ajoute-t-il.
Des soirées disjonctées
Les adolescents ne se privent de rien pour s'amuser, y compris utiliser les médicaments prescrits pour leurs mères.En effet, les jeunes s'offrent des soirées sous le signe de la folie et de l'inconscience en mélangeant plusieurs types de médicaments, en plus de l'alcool, les extasies et les psychotropes, pour atteindre le septième ciel. Un mélange mortel, dont les autorités et la société commencent à peine à prendre conscience.
Une tendance qui vient directement des Etats-Unis et d'Europe et qui n'a pas mis longtemps pour atterrir au Maroc. «Nous organisons ce genre de soirées depuis deux ans maintenant. Le principe est simple, chacun apporte sa participation en médicaments, on met le tout dans un bocal, on mélange et chacun prend une poignée et après la fête peut commencer», raconte fièrement Youssra, 15 ans.
Mais quand on lui demande ce qu'ils font lors de ces fêtes, elle se trouve dans l'incapacité de donner une réponse correcte, pour la simple raison qu'après un mélange de drogues et d'alcool, les jeunes ne se savent plus ce qu'ils font et donc n'ont aucun souvenir du déroulement de leurs soirées.
La Chicha est aussi nuisible
Toutes les études scientifiques effectuées jusqu'à ce jour, démontrent sans aucune ambigüité que le narguilé (Chicha), est tout aussi toxique et néfaste, que toute autre drogue. La chicha est une pipe orientale dans laquelle la fumée arrive par un vase rempli d'eau et dont la fumée, malgré ses divers parfums, passe directement aux poumons.Le narguilé est composé de 25% de tabac mélangé à de la mélasse et un arôme de fruits.Cette sensation agréable parfumée trompe tous ceux qui fument la chicha car ils n'imaginent pas que les nombreux produits toxiques inhalés peuvent avoir des effets dangereux sur la santé.
Contrairement aux idées reçues, fumer la chicha est donc, très nocif pour la santé, elle peut provoquer par exemple une augmentation du risque de cancers, des bronchites chroniques, ou des problèmes cardiovasculaires.
La caravane «non aux drogues», effectue des rondes sur les plages pour sensibiliser les jeunes à cette pratique très répandue, et dont certains ont fait un commerce juteux sur nos plages.
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