Il faut dire que la rapidité avec laquelle le site officiel du Raja a annoncé la nomination de Jamal, alors que les deux parties étaient seulement en négociations témoigne de la pression forte qui pèse sur le comité.
Lequel cherche par tous les moyens de désamorcer la crise qui secoue le club. Fathi Jamal était, semble-t-il, une carte destinée à ramener le calme et la sérénité dans la famille rajaouie. Mais cette carte n'a pas tenu l'espace de 12 heures puisque l'intéressé a préféré ne pas donner de suite à cette offre. Dans d'autres circonstances, le Raja n'aurait jamais annoncé l'arrivée d'un entraîneur avant de parapher le contrat. C'est encore une autre boulette du comité du club qui ne sait plus à quel saint se vouer. Annoncer l'arrivée d'un entraîneur alors que rien n'est encore finalisé, comme l'a expliqué Fathi Jamal lui-même (voir notre édition de jeudi), est révélateur d'une gestion approximative du club.
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