A quand une véritable solution pour la problématique du transport en commun à Rabat ? Depuis de longs mois, les habitants de la capitale et des deux villes voisines souffrent le martyre à cause du manque flagrant enregistré dans ce secteur capital. La souffrance atteint son paroxysme lors des heures de pointe. Un véritable cauchemar pour ceux qui sont contraints d'emprunter les bus pour se rendre à leurs lieux de travail ou d'études.
La fréquence des bus pour certaines destinations devient, des fois, très rare voire inexistante. Les usagers sont contraints de se rabattre sur le transport clandestin pour arriver à destination. Les arrêts de bus deviennent des stations où plusieurs conducteurs s'improvisent en chauffeurs pour les destinations les plus demandées.
Et les citoyens sont obligés de s'entasser les uns à côté des autres dans des conditions inhumaines moyennant cinq dirhams au lieu de quatre dirhams pour le ticket du bus ou du Grand taxi. Nécessité oblige ! Certains passent même le trajet aussi loin soit-il dans le coffre du véhicule. Les pik-up servent aussi en tant que moyen de transport de masse. Le phénomène du transport clandestin dans l'agglomération de Rabat, Temara et Salé a prospéré lors de la période transitoire entre l'entrée de Stareo et la fin des contrats des investisseurs privés marocains. Il a continué d'exister à cause des débrayages répétitifs qu'a connus le secteur ainsi que de la diminution des fréquences des bus. Les habitants des trois cités ne savent pas à quel saint se vouer. Ils espèrent du fond de leur cœur que ce dossier très épineux trouvera une issue favorable. Les témoignages recueillis par le Matin font ressortir une grande souffrance journalière. Aziza qui habite à Hay Chemaou à Salé et travaille à Rabat entame difficilement sa journée : la plupart des bus qui passent ne s'arrêtent pas car ils sont pleins à craquer.
Les grands taxis préfèrent ne pas travailler pendant les heures de pointe pour éviter les embouteillages au niveau du nouveau pont. Ainsi, la seule solution, pour elle, reste le transport clandestin. Les responsables locaux sont appelés à prendre le dossier à bras-le-corps en évitant les erreurs du passé. Rappelons que le conseil de la ville de Rabat a adopté il y a quelques jours en session ordinaire le document annexe de l'accord relatif à la gestion déléguée du transport urbain par bus afin de résoudre le problème du transport en commun dans la capitale.
deux cités. Le président-directeur général de la Société du Tramway de Rabat Salé animera aujourd'hui une conférence de presse pour annoncer le lancement de la nouvelle grille tarifaire ainsi que les nouvelles formules d'abonnement du Tramway. Le prix du ticket unitaire passera de 7 DH à 6 DH. Des formules d'abonnement sont prévues.
Le tarif d'abonnement mensuel a été fixé à 250 DH pour le grand public et 150 DH pour les étudiants avec un nombre de déplacements illimités. A travers cette nouvelle grille tarifaire, la société s'assigne pour objectif de rendre rentable le projet après avoir constaté pendant les trois mois de mise en service la faiblesse du taux de remplissage. On s'attend à une affluence massive lors de cette rentrée scolaire et estudiantine.
La fréquence des bus pour certaines destinations devient, des fois, très rare voire inexistante. Les usagers sont contraints de se rabattre sur le transport clandestin pour arriver à destination. Les arrêts de bus deviennent des stations où plusieurs conducteurs s'improvisent en chauffeurs pour les destinations les plus demandées.
Et les citoyens sont obligés de s'entasser les uns à côté des autres dans des conditions inhumaines moyennant cinq dirhams au lieu de quatre dirhams pour le ticket du bus ou du Grand taxi. Nécessité oblige ! Certains passent même le trajet aussi loin soit-il dans le coffre du véhicule. Les pik-up servent aussi en tant que moyen de transport de masse. Le phénomène du transport clandestin dans l'agglomération de Rabat, Temara et Salé a prospéré lors de la période transitoire entre l'entrée de Stareo et la fin des contrats des investisseurs privés marocains. Il a continué d'exister à cause des débrayages répétitifs qu'a connus le secteur ainsi que de la diminution des fréquences des bus. Les habitants des trois cités ne savent pas à quel saint se vouer. Ils espèrent du fond de leur cœur que ce dossier très épineux trouvera une issue favorable. Les témoignages recueillis par le Matin font ressortir une grande souffrance journalière. Aziza qui habite à Hay Chemaou à Salé et travaille à Rabat entame difficilement sa journée : la plupart des bus qui passent ne s'arrêtent pas car ils sont pleins à craquer.
Les grands taxis préfèrent ne pas travailler pendant les heures de pointe pour éviter les embouteillages au niveau du nouveau pont. Ainsi, la seule solution, pour elle, reste le transport clandestin. Les responsables locaux sont appelés à prendre le dossier à bras-le-corps en évitant les erreurs du passé. Rappelons que le conseil de la ville de Rabat a adopté il y a quelques jours en session ordinaire le document annexe de l'accord relatif à la gestion déléguée du transport urbain par bus afin de résoudre le problème du transport en commun dans la capitale.
Nouvelles offres du tramway
Le tramway pourrait régler une partie de la problématique du transport en commun à Rabat et Salé. Les habitants ont accueilli avec satisfaction la décision de diminuer le prix du ticket pour qu'il soit accessible à ceux qui se déplacent fréquemment entre lesdeux cités. Le président-directeur général de la Société du Tramway de Rabat Salé animera aujourd'hui une conférence de presse pour annoncer le lancement de la nouvelle grille tarifaire ainsi que les nouvelles formules d'abonnement du Tramway. Le prix du ticket unitaire passera de 7 DH à 6 DH. Des formules d'abonnement sont prévues.
Le tarif d'abonnement mensuel a été fixé à 250 DH pour le grand public et 150 DH pour les étudiants avec un nombre de déplacements illimités. A travers cette nouvelle grille tarifaire, la société s'assigne pour objectif de rendre rentable le projet après avoir constaté pendant les trois mois de mise en service la faiblesse du taux de remplissage. On s'attend à une affluence massive lors de cette rentrée scolaire et estudiantine.
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