Alger persiste et signe dans le feuilleton de la provocation

 Quant au deuxième groupe, il compte sept ressortissants espagnols. Il s'agit de Carvajal Maria Carmen, Gallero Oscar Diez Laura, Giminez Santiago, Lisbona Juan Andres, Luz Argiles, Raminez Marrero Ruiz et Toledo Guillermo. Cette deuxième vague, nous apprend notre source, est arrivée dans le Royaume lundi 27 septembre. Pas moyen de parler de hasard en la circonstance. Les deux groupes, entrés au Maroc sous le parapluie de touristes n'ont qu'un dessein en tête. En provenance d'Alger, ils se sont donné rendez-vous dans les provinces du Sud, où ils se sont retrouvés à Laâyoune. Pas besoin, là encore, de jouer à la devinette.







Les onze personnes comptent réitérer les actes de provocations qui ont eu lieu, il y a quelques semaines au même site. Plus précisément, fin août dernier. Par ailleurs, tout porte à croire que ce groupe, qui débarque d'Alger, au lendemain d'une rencontre savamment orchestrée par les autorités algériennes, ne vise autre que la mise sur pied d'une nouvelle stratégie de provocation à l'égard du Maroc. Un stratagème qui se résumerait à chercher la confrontation avec les autorités locales, sous le fallacieux prétexte que ces autorités se laisseraient faire. Or, l'on ne saurait pas loin du même scénario d'août dernier avec, en sus, le dispositif médiatique qui ne manquera certainement pas le rendez-vous.






Hasard du calendrier, simple coïncidence ou choix délibéré du moment ? Ce sont là quelques interrogations que les observateurs soulèvent quand on sait que cette nouvelle « mobilisation » constitue, en fait, un instrument qui tendrait à jouer la diversion. Notamment, en relation avec l'enlèvement de Mustafa Salma Ould Miloud dont le sort reste inconnu.






D'autant plus que la levée de boucliers qu'a suscité l'enlèvement de Ould Salma et la vague de solidarité qui a suivi n'ont pas été pour plaire au pouvoir algérien, encore moins à ses marionnettes dans les camps de Tindouf, en territoire algérien.


En fait, la fameux groupe de prétendus défenseurs des droits de l'Homme serait mieux inspirés d'aller faire un tour dans les geôles polisariènnes. Encore que cela ne dépend pas d'eux, mais de ceux qui enlèvent, qui séquestrent et qui se paient les services de leurs haut-parleurs. Rubis sur ongles.

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